50 nuances de grey et moi

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il y a 8 ans

Si le film 50 nuances de grey ne m’a pas plu, il a donné des idées et envies sadiques à mon mari. En résumé, j’adore même si le BDSM ne m’attire pas plus que ça !

Sur la boutique www.ABC-charme, nous avons fait quelques folies vestimentaires. Il m’a offert une paire de bas Leg Avenue puis un magnifique Corset Black "Evane" de la très prestigieuse marque "BOMBGIRL. Lorsque je suis ainsi vêtue, j’avoue que je dégage un charme fou qui ne peut laisser un homme de marbre.

Paul m’a demandé de me préparer avec ma nouvelle tenue pour une chaude soirée, lorsque je lui ai demandé quelle robe il désirait que je mette, sa réponse m’a surprise : « aucune, tu attendras au salon que je vienne te chercher petite chienne ».

Pour mon mari, ce vocabulaire peu élogieux rime avec partie de jambe en l’air à la maison ou avec des amis libertins rencontrés sur Fessestivites.com. Je savais donc à quoi m’en tenir pour la soirée mais j’étais loin d’imaginer qu’elle serait aussi chaude. Une heure plus tard, il est arrivé au salon avec le magnifique collier de soumise qu’il a trouvé sur www.ABCplaisir.com

Ses yeux brûlaient du feu du désir, je l’ai donc laissé me passer le dit collier de soumise puis me conduire à la chambre en me tenant par l’anneau permettant d’attacher une laisse. Arrivée à la chambre, je me suis crue dans un autre monde. Il avait mis des bougies de partout, puis déplacé la chaîne Hi-Fi qui diffusait une musique envoûtante et rythmée. Une claque sur les fesses m’a faite chuter sur le lit où, il m’a ordonnée de m’étendre sur le ventre.

Cet univers très tendance et glamour, invitait aux coquineries, la sensualité qu’il dégageait ce soir là m’excitait déjà beaucoup. Le contact des draps de soie avec ma peau très réceptive, m’a poussée à me cambrer pour lui offrir ma « croupe » comme il se plait à le dire.

Avec douceur, Paul a guidé mes poignets vers mon dos pour y poser des menottes. J’en ai déduit que ce serait une soirée BDSM sexe, mais j’étais loin d’imaginer que j’allais autant décoller. Ses caresses avec la musique et le parfum des bougies m’envoûtaient déjà, être menottée et offerte à ses désirs décuplaient mes sensations. Un clic et un mouvement du collier m’ont fait ouvrir les yeux, il venait de poser une laisse. En entrant dans le monde du BDSM, je passais donc de « salope » à « chienne », je ne sais pas vraiment ce qui est le mieux.....

Mon sadique d’amour s’est amusé avec mes sens, il tirait sur la ficelle de mon string pour titiller mon intimité en prenant tout son temps alors que je commençais à avoir envie de plus de virilité si vous voyez ce que je veux dire. Quand il a tiré sur la laisse pour que je me cambre plus encore, je n’ai pas vraiment aimé, cela n’a pas duré..... A genoux, jambes écartées, avec la tête sur le lit et les mains menottées dans le dos, mon intimité ne pouvait pas lui être plus offerte. Ses doigts taquins, dessinaient des chemins du haut de mes fesses jusqu’à mon clitoris qu’il ne faisait qu’effleurer. A chacun de leur passage sur mes lèvres et mon anus, je ressentais comme des décharges électriques, c’était divin.

Quand il est monté sur le lit, j’étais en manque de lui, de lui en moi, il avait préparé sa petite « salope », elle était prête à consommer. Au moment ou son gland a cherché la faille, je me suis cambrée encore plus pour mieux l’accueillir. Paul m’a pénétrée lentement et profondément, j’aime cette sensation de possession. Et là, il a tiré sur la laisse en me traitant de chienne pendant qu’il me baisait comme un forcené. Au mon dieu que c’était bon. En même temps que ses mouvements en rythme avec la musique, son index titillait mon étroit passage. Il voulait m’avoir toute entière, dans l’état où j’étais, il pouvait faire ce qu’il voulait de sa chienne, j’étais à lui.

Sa verge a quitté mon minou désespéré pour s’attaquer à mon petit cratère, grandement exposé de par ma position. Ce soir là c’est passé tout seul, j’étais prête ! Prête à tout, prête à tous ses désirs, prête à jouïr aussi. Je ne sais pas si c’est le collier, la laisse, les menottes, ou les trois, mais je me suis vraiment sentie chienne. Chienne en chaleur sans pudeur. A moitié étranglée par le collier, je me suis faite pilonner par un véritable marteau piqueur. J’ai décollé, crié, mordu les draps innocents en jouissant comme une malade.

Quand il s’est retiré puis à tiré sur la laisse pour me faire mettre à genoux par terre, j’ai pris sa position préférée. Mes yeux rivés dans les siens en gardant la bouche grande ouverte. Il se masturbait en sondant mon moi, son regard me rendait folle, folle de lui, folle tout court car j’ai gobé son sexe avec une envie de vorace. Il était dur, tendu à rompre, chaud entre mes lèvres puis, soudain, il s’est mis à me cracher son sperme qui était délicieux ce soir là.

Après avoir bien tout lécher pour ne pas en perdre une goutte, je me suis reculée pour voir ses yeux. Il était heureux, comblé et là, pourquoi ai-je fait ça? Je n’en sais rien, je me suis couchée à ses pieds.

Ecrivaillon

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